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C'est la première fois que le club va disputer un 7e tour de Coupe de France, en plus à domicile. Environ 1 500 personnes sont attendus ce dimanche.
Entretien
Olivier Quint, coach de l'ACC football et ancien du FC Nantes, et Thierry Forey, président de l'ACC football.
Qu'est-ce que cette qualification représente pour le club ?
Thierry Forey : c'est historique pour le club car c'est la première fois de son existence que l'on va disputer un 7e tour de Coupe de France, en plus à domicile ! Et c'est aussi le fruit du travail accompli par le club dans l'encadrement et la formation des joueurs.
Est-ce que la défaite récente en championnat DRS contre les Essarts vous a mis une pression supplémentaire ?
Olivier Quint : c'est surtout un petit coup de motivation supplémentaire. Mais le championnat et la Coupe de France sont deux compétitions bien différentes. Les joueurs ont tendance à lever le pied en championnat car ils veulent tous jouer le match de Coupe.
Y-a-t-il eu une préparation particulière ?
O.Q. : on a juste diminué le nombre d'entraînements par semaine, mais avec des sessions plus physiques, car face à une équipe de N2, habituée à des matchs de niveau plus élevé, il faut tenir le coup physiquement. Il va falloir être solide et intelligent, bien psychologiquement, mais surtout jouer au foot, car si on subit sans le ballon, ça risque d'être très dur physiquement. Sinon c'est un match à jouer comme les autres, pas comme une fin de parcours, mais un passage... C'est le charme de la Coupe !
T.F. : On y croit, même si on va affronter une très belle équipe de N2 ; l'exploit n'en sera que plus beau, et pourquoi pas espérer un match piège pour eux ?
Quel dispositif a été mis en place pour cette rencontre ?
T.F. : Pour un club comme le nôtre, le cahier des charges imposé par la Fédération est énorme : 60 bénévoles, 20 stadiers, un médecin, quatre secouristes, fouille à l'entrée, etc. Nous attendons entre 1 000 et 1 500 personnes (pour une jauge de 2 500) ; cela fait quinze jours que les bénévoles et la Ville sont mobilisés pour le fléchage d'accès, qui sera exclusivement fait par l'avenue de l'Europe. Un de nos principaux sponsors, Intermarché, a d'ailleurs mis son magasin chapelain aux couleurs orange et noir du club et d'autres surprises sont prévues dimanche.
Source : Ouest-France
Attention les places sont limitées !! Réservez vite !!
Pour tout renseignement, contactez Michel Le Nair au 06-76-32-29-72
Le tournoi annuel des Citrouilles, organisé du 21 octobre au 1er novembre par le Tennis Erdre chapelain (Tec), a réuni 150 joueuses et joueurs de tout le grand Ouest pendant dix jours.
Une belle édition 2017, qui a vu la victoire chez les femmes de Caroline Lefevre (3/6) de Pornichet, sur la Rezéenne Mya Lebouette-Fonteneau (3/6), qui avaient battu en demi-finale les Chapelaines Élodie Martin (5/6) et Léa Rolland (5/6).
Chez les hommes, c'est Alexandre Chatry (2/6), des Sables-d'Olonne qui l'a emporté face à Jean-Philippe Lecuyer (2/6), de Saint-Herblain. Ce tournoi est l'un des deux gros tournois annuels organisés par le club comptant pour le classement des joueurs.
Le second, le Tournoi Open, qui a habituellement lieu aux alentours du mois de mai, devrait d'ailleurs subir un changement de dates, pour des questions logistiques liées aux activités propres au club. Les dates seront prochainement divulguées, mais le tournoi Open devrait plutôt avoir lieu en début d'année.
Source : Ouest-France
Source : Presse-Océan
« Zéro phyto et terrains de sport, un pari à gagner ! » était le thème de la journée technique d'Écopôle, jeudi, au complexe sportif du Buisson-de-la-Grolle.
Pourquoi ? Comment ?
Où en est l'expérience de La Chapelle ?
Jean-Noël Lebossé, adjoint à l'environnement, et Rémy Orhon, directeur du service environnement, ont expliqué à une vingtaine d'agents techniques des communes de Nantes-métropole que La Chapelle fait figure de pionnière en matière de gestion écologique des espaces publics.
La commune s'y est engagée dès 2005 et, depuis 2009, n'emploie plus aucun pesticide dans ses interventions. « Il a fallu que ce soit compris et accepté par la population, reconnaît l'élu. C'est sans doute au cimetière que nous avons eu plus de problèmes ! Mais aujourd'hui, cette pratique est globalement acceptée, voire plébiscitée. »
Le gazon synthétique, est-ce une alternative écologique ?
« Oui et non ! » Réponse de Normand de la part de Philippe Rio, responsable commercial d'un des principaux fabricants français (Tarkett-Sports) de gazon synthétique. « Certes, le gazon est élaboré avec de la matière plastique neuve, mais le granulat qui l'accompagne est obtenu du recyclage de pneus usagés. Pour un espace comme celui du Buisson-de-la-Grolle, il en faut environ cent tonnes. »
Mais un terrain synthétique ne nécessite ni arrosage, ni d'amendement pour la croissance du gazon ! Pas de tonte, non plus... « Il faut également noter qu'aujourd'hui, toutes les matières composant un tel équipement doivent être recyclées en fin de vie. Le propriétaire est responsable de ses déchets. La loi impose une traçabilité. »
Et qu'en est-il néanmoins de l'entretien ?
Rémy Orhon a une jolie phrase pour présenter la problématique. « Quand on nous vend un terrain synthétique, on nous dit qu'il n'y a pratiquement pas d'entretien... Et nous, nous retenons plus facilement le « pas d'entretien » que le « pratiquement » ! »
Philippe Potiron est responsable du site. « Il a fallu acquérir une « culture » du terrain synthétique. Au fil des ans, ça vient ! Le nettoyage régulier (brossage du gazon, tamisage des déchets) se fait de manière mécanique, sans produits chimiques. » Reste que sur un terrain de sport, il y a aussi les crachats des joueurs, de minuscules particules de peaux mortes et parfois même des traces de sang si un sportif se blesse. « Tous les deux ou trois ans, il faut procéder à une désinfection sanitaire. » Pour le Buisson-de-la-Grolle ce sera prochainement... et le plus naturellement possible.
Le tirage au sort n’a pas été clément pour les clubs de Loire-Atlantique pour le septième tour de Coupe de France. La Chapelle-sur-Erdre recevra Bergerac (N2), alors que la JSC Bellevue-Nantes accueillera Limoges (N2).
Le tirage au sort du septième Tour de Coupe de France fait entrer dans le bain les clubs de Ligue 2. Si les clubs de Loire-Atlantique évietent Tours ou Châteauroux, La Chapelle-sur-Erdre AC et la JSC Bellevue-Nantes accueilleront quand même des gros morceaux, avec deux clubs de N2 (ex-CFA).
La Chapelle-sur-Erdre recevra Bergerac, club de National 2, en Dordogne. De son côté, la JSC Bellevue-Nantes devra faire avec la visite du Limoges FC, également pensionnaire de N2.
Les matches se dérouleront les 11 et 12 novembre.
« Zéro phyto et terrains de sport, un pari à gagner ! » était le thème de la journée technique d'Écopôle, jeudi, au complexe sportif du Buisson-de-la-Grolle.
Pourquoi ? Comment ? Où en est l'expérience de La Chapelle ?
Jean-Noël Lebossé, adjoint à l'environnement, et Rémy Orhon, directeur du service environnement, ont expliqué à une vingtaine d'agents techniques des communes de Nantes-métropole que La Chapelle fait figure de pionnière en matière de gestion écologique des espaces publics.
La commune s'y est engagée dès 2005 et, depuis 2009, n'emploie plus aucun pesticide dans ses interventions. « Il a fallu que ce soit compris et accepté par la population, reconnaît l'élu. C'est sans doute au cimetière que nous avons eu plus de problèmes ! Mais aujourd'hui, cette pratique est globalement acceptée, voire plébiscitée. »
Le gazon synthétique, est-ce une alternative écologique ?
« Oui et non ! » Réponse de Normand de la part de Philippe Rio, responsable commercial d'un des principaux fabricants français (Tarkett-Sports) de gazon synthétique. « Certes, le gazon est élaboré avec de la matière plastique neuve, mais le granulat qui l'accompagne est obtenu du recyclage de pneus usagés. Pour un espace comme celui du Buisson-de-la-Grolle, il en faut environ cent tonnes. »
Mais un terrain synthétique ne nécessiteni arrosage, ni d'amendement pour la croissance du gazon ! Pas de tonte, non plus... « Il faut également noter qu'aujourd'hui, toutes les matières composant un tel équipement doivent être recyclées en fin de vie. Le propriétaire est responsable de ses déchets. La loi impose une traçabilité. »
Et qu'en est-il néanmoins de l'entretien ?
Rémy Orhon a une jolie phrase pour présenter la problématique. « Quand on nous vend un terrain synthétique, on nous dit qu'il n'y a pratiquement pas d'entretien... Et nous, nous retenons plus facilement le « pas d'entretien » que le « pratiquement » ! »
Philippe Potiron est responsable du site. « Il a fallu acquérir une « culture » du terrain synthétique. Au fil des ans, ça vient ! Le nettoyage régulier (brossage du gazon, tamisage des déchets) se fait de manière mécanique, sans produits chimiques. » Reste que sur un terrain de sport, il y a aussi les crachats des joueurs, de minuscules particules de peaux mortes et parfois même des traces de sang si un sportif se blesse. « Tous les deux ou trois ans, il faut procéder à une désinfection sanitaire. » Pour le Buisson-de-la-Grolle ce sera prochainement... et le plus naturellement possible.
Source : Ouest-France
Le Tennis Erdre chapelain (TEC) a élu son nouveau bureau pour la saison 2017-2018, en octobre. La majorité du bureau a été renouvelée, des membres étant là depuis dix-sept ans, telles les trésorières Véronique Boulay et Florence Creuse.
Quentin Delavaud, qui a été président du TEC pendant neuf ans, devient vice-président. Alain Simonneaux, nouveau président, sera entouré de Elodie Martin, secrétaire ; Philippe Chabrand et Nathalie Payelle, trésoriers ; Christophe Durant et Arnaud Vielle, relation club et site internet ; Cédric Lebrun, animation externe, accompagnés de Sébastien Mouchard, qui reste le directeur sportif.
Avec plus de 500 licenciés, le club se porte bien. « L'équipe 1 masculine a su se maintenir en prénationale division qualificative pour la Nationale 4 », se félicite le nouveau président. Des jeunes de 18 ans tirent l'équipe vers le haut, comme Kylian Limousin (classé 1/6) ou Paul Boulet (0), parti aux USA pour se perfectionner. « L'équipe féminine, jeune (13-18 ans) et homogène (de 3/6 à 5/6), a pour objectif de remonter en prénationale. »
Source : Ouest-France
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