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Source : Presse-Océan
« Zéro phyto et terrains de sport, un pari à gagner ! » était le thème de la journée technique d'Écopôle, jeudi, au complexe sportif du Buisson-de-la-Grolle.
Pourquoi ? Comment ?
Où en est l'expérience de La Chapelle ?
Jean-Noël Lebossé, adjoint à l'environnement, et Rémy Orhon, directeur du service environnement, ont expliqué à une vingtaine d'agents techniques des communes de Nantes-métropole que La Chapelle fait figure de pionnière en matière de gestion écologique des espaces publics.
La commune s'y est engagée dès 2005 et, depuis 2009, n'emploie plus aucun pesticide dans ses interventions. « Il a fallu que ce soit compris et accepté par la population, reconnaît l'élu. C'est sans doute au cimetière que nous avons eu plus de problèmes ! Mais aujourd'hui, cette pratique est globalement acceptée, voire plébiscitée. »
Le gazon synthétique, est-ce une alternative écologique ?
« Oui et non ! » Réponse de Normand de la part de Philippe Rio, responsable commercial d'un des principaux fabricants français (Tarkett-Sports) de gazon synthétique. « Certes, le gazon est élaboré avec de la matière plastique neuve, mais le granulat qui l'accompagne est obtenu du recyclage de pneus usagés. Pour un espace comme celui du Buisson-de-la-Grolle, il en faut environ cent tonnes. »
Mais un terrain synthétique ne nécessite ni arrosage, ni d'amendement pour la croissance du gazon ! Pas de tonte, non plus... « Il faut également noter qu'aujourd'hui, toutes les matières composant un tel équipement doivent être recyclées en fin de vie. Le propriétaire est responsable de ses déchets. La loi impose une traçabilité. »
Et qu'en est-il néanmoins de l'entretien ?
Rémy Orhon a une jolie phrase pour présenter la problématique. « Quand on nous vend un terrain synthétique, on nous dit qu'il n'y a pratiquement pas d'entretien... Et nous, nous retenons plus facilement le « pas d'entretien » que le « pratiquement » ! »
Philippe Potiron est responsable du site. « Il a fallu acquérir une « culture » du terrain synthétique. Au fil des ans, ça vient ! Le nettoyage régulier (brossage du gazon, tamisage des déchets) se fait de manière mécanique, sans produits chimiques. » Reste que sur un terrain de sport, il y a aussi les crachats des joueurs, de minuscules particules de peaux mortes et parfois même des traces de sang si un sportif se blesse. « Tous les deux ou trois ans, il faut procéder à une désinfection sanitaire. » Pour le Buisson-de-la-Grolle ce sera prochainement... et le plus naturellement possible.
Le tirage au sort n’a pas été clément pour les clubs de Loire-Atlantique pour le septième tour de Coupe de France. La Chapelle-sur-Erdre recevra Bergerac (N2), alors que la JSC Bellevue-Nantes accueillera Limoges (N2).
Le tirage au sort du septième Tour de Coupe de France fait entrer dans le bain les clubs de Ligue 2. Si les clubs de Loire-Atlantique évietent Tours ou Châteauroux, La Chapelle-sur-Erdre AC et la JSC Bellevue-Nantes accueilleront quand même des gros morceaux, avec deux clubs de N2 (ex-CFA).
La Chapelle-sur-Erdre recevra Bergerac, club de National 2, en Dordogne. De son côté, la JSC Bellevue-Nantes devra faire avec la visite du Limoges FC, également pensionnaire de N2.
Les matches se dérouleront les 11 et 12 novembre.
« Zéro phyto et terrains de sport, un pari à gagner ! » était le thème de la journée technique d'Écopôle, jeudi, au complexe sportif du Buisson-de-la-Grolle.
Pourquoi ? Comment ? Où en est l'expérience de La Chapelle ?
Jean-Noël Lebossé, adjoint à l'environnement, et Rémy Orhon, directeur du service environnement, ont expliqué à une vingtaine d'agents techniques des communes de Nantes-métropole que La Chapelle fait figure de pionnière en matière de gestion écologique des espaces publics.
La commune s'y est engagée dès 2005 et, depuis 2009, n'emploie plus aucun pesticide dans ses interventions. « Il a fallu que ce soit compris et accepté par la population, reconnaît l'élu. C'est sans doute au cimetière que nous avons eu plus de problèmes ! Mais aujourd'hui, cette pratique est globalement acceptée, voire plébiscitée. »
Le gazon synthétique, est-ce une alternative écologique ?
« Oui et non ! » Réponse de Normand de la part de Philippe Rio, responsable commercial d'un des principaux fabricants français (Tarkett-Sports) de gazon synthétique. « Certes, le gazon est élaboré avec de la matière plastique neuve, mais le granulat qui l'accompagne est obtenu du recyclage de pneus usagés. Pour un espace comme celui du Buisson-de-la-Grolle, il en faut environ cent tonnes. »
Mais un terrain synthétique ne nécessiteni arrosage, ni d'amendement pour la croissance du gazon ! Pas de tonte, non plus... « Il faut également noter qu'aujourd'hui, toutes les matières composant un tel équipement doivent être recyclées en fin de vie. Le propriétaire est responsable de ses déchets. La loi impose une traçabilité. »
Et qu'en est-il néanmoins de l'entretien ?
Rémy Orhon a une jolie phrase pour présenter la problématique. « Quand on nous vend un terrain synthétique, on nous dit qu'il n'y a pratiquement pas d'entretien... Et nous, nous retenons plus facilement le « pas d'entretien » que le « pratiquement » ! »
Philippe Potiron est responsable du site. « Il a fallu acquérir une « culture » du terrain synthétique. Au fil des ans, ça vient ! Le nettoyage régulier (brossage du gazon, tamisage des déchets) se fait de manière mécanique, sans produits chimiques. » Reste que sur un terrain de sport, il y a aussi les crachats des joueurs, de minuscules particules de peaux mortes et parfois même des traces de sang si un sportif se blesse. « Tous les deux ou trois ans, il faut procéder à une désinfection sanitaire. » Pour le Buisson-de-la-Grolle ce sera prochainement... et le plus naturellement possible.
Source : Ouest-France
Le Tennis Erdre chapelain (TEC) a élu son nouveau bureau pour la saison 2017-2018, en octobre. La majorité du bureau a été renouvelée, des membres étant là depuis dix-sept ans, telles les trésorières Véronique Boulay et Florence Creuse.
Quentin Delavaud, qui a été président du TEC pendant neuf ans, devient vice-président. Alain Simonneaux, nouveau président, sera entouré de Elodie Martin, secrétaire ; Philippe Chabrand et Nathalie Payelle, trésoriers ; Christophe Durant et Arnaud Vielle, relation club et site internet ; Cédric Lebrun, animation externe, accompagnés de Sébastien Mouchard, qui reste le directeur sportif.
Avec plus de 500 licenciés, le club se porte bien. « L'équipe 1 masculine a su se maintenir en prénationale division qualificative pour la Nationale 4 », se félicite le nouveau président. Des jeunes de 18 ans tirent l'équipe vers le haut, comme Kylian Limousin (classé 1/6) ou Paul Boulet (0), parti aux USA pour se perfectionner. « L'équipe féminine, jeune (13-18 ans) et homogène (de 3/6 à 5/6), a pour objectif de remonter en prénationale. »
Source : Ouest-France
Les Mustangs reçoivent les Hocklines de Toulouse. Samedi 28 octobre, 20h, halle de Mazaire, 5, rue de la Hautière, La Chapelle-sur-Erdre. Gratuit.
Source : Ouest-France
Le comité départemental handisport 44, le comité régional handisport des Pays de la Loire organisent un stage de perfectionnement de tennis de table encadré par Julien Pietropaoli. Ouvert à tous les pongistes en situation de handicap licenciés FFH et/ou FFTT en loisir ou compétition sur la région. Samedi 28 octobre, 10h à 12h et 14h à 19h, dimanche 29 octobre, 9h30 à 12h, complexe sportif de la Coutancière, La Chapelle-sur-Erdre. Tarif 40€, réduit 25€, autre : avec ou sans hébergement. Inscription avant le 20 octobre. Contact : 06 17 61 86 98, cd44@handisport.org, www.handisport44.fr
Source : Ouest-France
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